Toute économies équivaut à une économie, qu’elle soit petite ou grande. Et regardant ma facture à la sortie du supermarché, je me dis qu’il doit bien y avoir un moyen de couper quelque part. Voici donc quelques trucs pour en faire lors de nos achats de tous les jours!

* J’apprends par cœur ou je note dans un carnet le prix des produits lorsqu’ils sont en spécial et je ne les achète qu’à ce moment-là. Par exemple, le fromage est à bon prix à 0,01$ le gramme, c’est-à-dire à 3$ pour 300g. Il est donc à très bon prix s’il coûte encore moins cher!

* Je suis très vigilante quand il y a des spéciaux. Par exemple, on nous annonce dans la circulaire des poitrines de poulet désossées à 5,58$/kg. Elles sont peut-être placées avec les autres cuisses et ailes dans la section « Poulet », alors qu’on retrouve dans les tombeaux au centre de l’allée des poitrines dites « parées » qui portent la mention « spécial » sur une étiquette jaune. Si on prend ce paquet, on pense qu’on achète celles annoncées dans la circulaire alors qu’on achète plutôt un produit qui contient peut-être moins de gras, qu’on a mis un peu plus de temps à préparer, mais qui sera vendue 10$/kg (un spécial aussi!). Le consommateur, s’il ne regarde pas l’étiquette, se fait jouer un tour.

* Je fais moi-même les cubes pour les brochettes avec des poitrines de poulet ou des rôtis au lieu d’acheter les cubes déjà préparés. N’oubliez pas ceci. Plus le boucher a travaillé sur un aliment, plus le prix sera élevé et moins on en a dans les poches!

* J’achète le moins possible d’aliments déjà préparés, plus dispendieux. On nous propose maintenant des légumes grillés congelés. Ils doivent être chauffés dans une poêle avec de l’huile, donc la seule différence avec ceux qu’on ferait nous même c’est qu’on n’a pas besoin de les couper en tranches fines…

* Je cuisine moi-même les vinaigrettes et sauces pour cuisson qui contiennent de toute façon de l’huile, du vinaigre, du sucre et beaucoup plus de sel qu’on en mettrait nous-mêmes.